Part 15
Du paradis à l'enfer
Du haut du onzième étage de son building au beau milieu du centre ville, il eut semblé que Nicolas entendait les moineaux chanter dans le parc qui se trouvait à quelques pâtés de maison de là. Il était couché là, les yeux fixant le plafond comme pour y déceler un secret qui y serait enfoui. Ses joues semblaient rosées par la joie qui le parcourait tout entier. Il dirigea son regard heureux sur sa droite, puis refixa le plafond. Il finit par reprendre cette scène à plusieurs reprises jusqu’à ce que Kelvian qui était endormi justement à sa droite lui dise, tout en restant immobile :
-Nicolas… t’es trop bête !!
-Hein ?
-Un grand garçon comme toi !! Tu fais comme un collégien qui vient tout juste d’être dépucelé ! Ha ! Ha ! Ha ! Fit-il donc en s’esclaffant de plus belle.
-Tu te moques de moi !? Je n’ai pas le droit d…
Kelvian lui pris donc la main et posa cette dernière sur son torse :
-Que… !? Fit donc Nicolas stupéfait.
-Tu vois là ? C’est bien moi, ce sont mes battements de cœur, là c’est mon souffle qui caresse ton visage, lui dit-il en lui transmettant un souffle chaud et doux sur les joues. Je te rassure, ce n’est pas un rêve.
Nicolas frissonnait de tout son corps et était rougeâtre jusqu’aux oreilles. Comme Kelvian retenait l’une de ses mains captive, il se servit de l’autre pour lui tâtonner le visage, lui caressant ses cheveux noirs de jais, effleurant son cou. Il le touchait si timidement que Kelvian en tressaillit. Son regard se posa sur ses lèvres viles et avides, comme si, sans besoin de mot, elles lui transmettaient une envie bien évidente.
Las de tant attendre, mais se retenant de brusquer l’être aimé, Kelvian pris une gorgée de courage avant de rapprocher Nicolas de lui. Nez à nez, ils ne bougeaient pas. Kelvian se refusait à faire le premier pas, connaissant la psychologie fragile de Nicolas vis-à-vis de leur situation actuelle.
-Bah alors gros bêta ? Tu oublies tes réflexes ? Lui dit alors Kelvian d’un ton enjoué.
-Kelvian…
-Oui ?
-Tu n’es pas nerveux ?
-Si je ne suis pas nerveux ? J’ai l’impression que je vais exploser, pourquoi me fais-tu tant languir ? Le fauve s’est éclaté en mille éclats de verre.
Nicolas ne comprenait pas le sens de sa dernière phrase et donc écarquilla les yeux d’incompréhension avant que Kelvian ne reprît.
-Je me découvre à vouloir prendre des pincettes, refoulant mes besoins primaires du mieux que je peux. Tout ça afin de ne pas briser le peu que nous ayons.
-Heu…
-Tu as de la chance Nicolas, je suis blessé donc je ne te saute pas dessus alors que Dieu seul sait à quel point j’en ai envie. Mais ce n’est pas que pour ça. Je ne veux pas mener la danse, je veux qu’on soit sur un pied d’égalité, je veux agir avec autant de douceur, de pudeur et d’innocence que toi car tu le mérites, dit-il alors en lui baisant les doigts.
En réalité, Kelvian avait perçu les tremblements de Nicolas dont l’apparence de beau gosse sauvage se dispersait dans le temps. Peut-être avait-il toujours été ainsi en sa présence. Peut-être se retenait-il afin de ne jamais se trahir, quitte à s’affaiblir psychologiquement. Par rapport à cette condition, comment Kelvian pouvait-il encore le brusquer ? Pensait-il très fort.
Nicolas, sourit tendrement, non de crainte ou d’intimidation, de joie, de reconnaissance peut-être. Les tremblements s’arrêtèrent. Il se décida donc à l’embrasser tendrement, tâtonnant comme pour se rassurer que tout soit bel et bien vrai. Ils étaient tous les deux chauds comme la braise. La douceur de leurs actions était contraire à la passion qui les consumait, mais pourtant si intense. Ils restèrent donc là, l’un contre l’autre, s’échangeant de simples baisers, quelques caresses. Kelvian ne pouvait détacher ses yeux de Nicolas. Ce dernier égara quelques larmes de joie.
Nicolas finit par s’assoupir, accroché au cou de Kelvian, qui le berçait de caresses dans les cheveux.
-Qui aurait cru que des choses aussi simples auraient pu combler mon âme en plein tourment d'un bonheur aussi sincère et intense ? C’est vraiment ce qu’on appelle… l’amour ? Je n’avais jamais ressenti ce genre de chose Nico, merci. Merci pour tout vraiment. Finit par dire Kelvian en lui adressant un doux baiser sur le front.
Son regard devint soudainement dur. Il devint immobile. La tension dans la chambre devint palpable. Son regard devint cruel. Il se mordit la lèvre inférieure. Il devait faire quelque chose. La situation dans l’immédiat le comblait de bonheur. Mais comment la faire perdurer ? Comment la rendre indélébile, immortelle ? Sa notoriété qui avait toujours été sa force pouvait devenir l’objet de sa chute. Moult et moult questions traversèrent son esprit. Il devait agir vite et bien. Mais comment ? Lui qui gardait toujours tout pour lui, ne se résolvant à ne jamais s’ouvrir aux autres, ne jamais partager ses problèmes, sa haine, sa peine avec quiconque, il devait toujours s’assurer d’être parfait. Pourquoi devait-il être parfait déjà ? Cela avait-il toujours été son souhait ? Il fallait que ça change. Son futur créé et planifié de toute pièce pourrait très bien être compromis et s’effondrer sans laisser de trace. Mais il s’était résolu à faire confiance à l’instant présent même si tout devait disparaître autour de lui. Il serra Nicolas contre lui, comme en lui quémandant une solution, comme en lui demandant une repentance.
-Nico… Je ne sais pas comment faire… vraiment, finit-il par dire alors désespérément.
-Vous ne savez pas faire quoi ?
Silence.
Kelvian se retourna vers la voix. Il y découvrit Karen les épiant de la porte de la chambre. Sur le coup Kelvian en resta sans voix, il n’avait pas envisagé ce type de possibilité. Etre vu ainsi par quelqu’un d’autre dans cette position le mettait très mal à l’aise. Mais il craignait la réaction de cette femme. Il n’arrivait pas à la cerner. Elle lui avait déjà semblé étrange.
-Et ben alors ? Vous avez reperdu la parole ? Fit-elle en s’invitant dans la chambre.
-Ka… Karen ? Vous m’avez surpris. Bonjour… !
-Ouais bonjour. Alors comme ça vous entretenez ce genre de relation avec le p’tit Nicolas ? J’ai eu une vague sensation hier mais je ne m’attendais pas vraiment à ce que ça soit le cas.
-Qu’est-ce que vous voulez dire ? C’est interdit de dormir l’un à côté de l’autre de manière non équivoque maintenant ?
-Hein ? Parle pour que des gens comme moi comprennent, le tombeur. Dit-elle en s’asseyant sur la chaise près du chevet.
-Heu, gardez vos suppositions pour vous. Je suis blessé et déprimé. Je ne vois pas en quoi Nicolas devrait sembler louche parce qu’il me réconforte…
-Tu est la seule personne louche ici, mon vieux, fit-elle d’un regard cynique.
-Ah bon ?
-Kelvian, hein ? C’est bien ça ?
C’était la seconde fois qu’elle lui posait cette question. Son comportement était décidément très louche.
-C’est un prénom qui ne court pas les rues, pas vrai ? Je suis toujours à côté de mes pompes à propos de tout en général mais c’est un détail que je n’ai pas oublié.
-Comment ça ?
-Il y a quelque temps de cela, nous avons reçu un certain jeune homme avec ce prénom au service. Tout l’hôpital était sans dessus dessous.
« Non… » Pensait alors très fort Kelvian.
-Si, fit alors Karen en l’attrapant par la bouche, comme si elle avait lu dans ses pensées.
- !! Kelvian s’apprêtait à bouger, mais Karen le bloqua par son épaule meurtrie.
-Chhhht, tu vas réveiller notre p’tit Nico, mon vieux.
-Qu’est-ce que vous me voulez ?
-Tu es le fils du directeur de l’hôpital, n’est-ce pas ?
-Je… Je ne vois pas de quoi vous parlez !
-Je trouvais ça trooooooop louche que tu ne veuilles pas aller te soigner à l’hôpital. Tu cherches à éviter le monde hospitalier ? Car ton père a étendu sa toile sur tous les hôpitaux de la région. Tu ne voulais pas qu’il découvre ça ? Finit-elle de façon cruelle tout en appuyant sur sa blessure.
-V… Vous me faites mal… Karen…
-Ah oui ? Vraiment ? Que dis-tu de ça : j’arrête de te martyriser si tu laisses Nicolas tranquille sino…
-Pardon !? De quel droit vous permettez vous de parler ainsi ? Vous n’êtes pas sa mère à ce que je sache. Avant de vous complaire dans vos propos renseignez vous un peu sur lui afin de… Karen lui pinça le nez. Mais que faites-v…
-Ta gueule, tu le fais ou je balance tout à ton père.
Ce fut sans expression que Kelvian laissa échapper le peu de force qui lui restait. « Mais qu’est-ce que c’est que ça ? » « Pourquoi faut-il que ça se passe comme ça ? » « Il y a quelque chose que j’ai mal fait… »
-Les mecs comme toi qui ont toujours tout eu, qui ont toujours été choyé ne savent pas comment s’arrêter pas vrai ?
« Hein ? C’est quoi ça encore ? Elle m’énerve… Elle me tape grave sur le système… Qu’est-ce qu’elle sait de moi pour se permettre de me parler de la sorte ? »
-Et là tu veux t’amuser avec le pauvre p’tit Nico ? Et quand tu auras fini tu le jetteras comme un jouet pas vrai ? Je ne te laisserai pas faire !!
Kelvian devint aussi obscur qu’une nuit sans lune, son énervement ayant atteint son point culminant il se releva tel un phoenix ignorant toute douleur, bousculant même le pauvre Nicolas qui ne s’était toujours pas réveillé.
-Et que sais-tu de moi, grosse truie… ?
-Quoi !? Dit-elle surprise qu’il se relève malgré la douleur.
-Qu’est-ce que tu sais de moi ? Tu te permets de me juger à cause de mon nom, de mes parents… ai-je ne serait-ce qu’une fois tenté de te juger ? Nicolas et moi nous connaissons depuis la crèche, que penses-tu savoir de lui, toi qui ne le connais que depuis quelques années ? Il avançait d’un pas dur mais sûr vers elle qui reculait jusqu’à se trouver coincée par le mur.
-Moi, ce que je vois, c’est un gosse de riche à problème qui vient troubler un garçon au grand cœur ! Tu ne me fais pas peur !
-Ah oui ? Et bien tu devrais ! Je n’ai jamais levé la main sur une femme de ma vie, et bien je ne vais pas me priver aujourd’hui, annonçait-il en relevant son bras valide afin de la frapper.
-Pauvre estropié, tu regretteras ton geste jusqu’à la fin, sache où est ta place, c’est moi qui suis en position de force et toi qui a des choses à cach… Ah !!
Kelvian la frappa si fort qu’elle en tomba à la renverse.
-Tu as prévu de la fermer quand ? Dit-il sombre, il la regardait le regard vide comme s’il voyait au travers de cette dernière.
-Vas-y !! Continue !! Je vais te faire rentrer dans un trou et tu n’en sortiras pas de si tôt !
Kelvian s’apprêtait à lui donner des coups de pieds quand Nicolas dit sur un ton effaré :
-Mais qu’est-ce que vous faites !!?
-Nicolas !! Ce mec c’est un monstre, il ose lever la main sur une femme !!
Kelvian s’était immobilisé, ne sachant plus quoi faire. Il tournait le dos à Nicolas et avait en face de lui une Karen qui simulait une scène de violence dont il était l’auteur comme s’il était en tord, comme s’il s’en était pris à elle sans raison. Elle lui adressa un sourire mesquin une fraction de seconde. Rongé par la colère il lui donna un coup de pied en pleine tête, la projetant ainsi contre le mur. Elle s’évanouit sur le coup pour s’écrouler sur le sol.
-Kelvian !! Mais qu’est-ce que tu fous !? Rétorqua donc Nicolas qui lui avait saisi les hanches.
Mais Kelvian ne disait rien, lui-même ne comprenait pas son comportement.
-Kelvian !? Il s’est passé quoi ? C’est la première fois que je te vois comme ça !
Il eut un pincement au cœur. Mais, la truie n’avait pas totalement tord.
-Désolé, elle m’a un peu tapé sur les nerfs.
-Quoi !?
-C’est vraiment une gentille fille, dit-il en la prenant par les cheveux.
-Mais !!? Kelvian tu vas pas bien ou quoi !? Si elle porte plainte tu peux aller en taule !!
-Mais non, je pourrais m’en sortir avec de l’argent, ou bien je peux la faire disparaître dit-il alors d’un sourire sadique.
Nicolas lui donna un coup de poing. Il relâcha Karen et posa sa main sur sa joue endolorie. Il eut semblé que ce coup de poing lui infligeait plus de souffrance que son épaule meurtrie.
-Je ne te reconnais plus là. Tu vas te calmer de suite. Je ne sais pas ce qu’elle t’a dit mais elle a vraiment dû te mettre en rogne. C’est pas une raison pour frapper les gens, t’es devenu fou ou quoi ? De nos jours l’argent ne résoud plus rien.
-C’est ce qu’elle semblait penser en tout cas…
-Quoi !? Fit Nicolas qui ramenait Karen sur son lit se retourna vers Kelvian qui n’avait toujours pas bougé. Elle t’a dit quoi !?
-Elle faisait tout ça pour te protéger, c’est vraiment une brave femme.
-Ce que tu dis et ce que tu fais ne correspondent pas du tout Kelvi…
-Je m’en vais.
-Hé… !? Dit Nicolas surpris à l’extrême à tel point qu’il relâcha Karen sur le lit sans douceur.
-Elle a raison, je ne ferai que te blesser, je suis désolé pour tout ça. Elle peut me balancer aux flics si elle veut, j’en ai plus rien à foutre.
-Hey, hey, hey !! Stop là… Mais qu’est-ce qui te prend à la fin…
-Merci pour tout Nico, finit par dire Kelvian qui s’était rapproché de lui pour lui baiser le front.
-Attends… Kelvian… Non… Nicolas s’accrochait à la chemise de Kelvian désespérément.
Mais ce dernier ne l’écoutait plus, il le fit le relâcher, il enfila ses chaussures, puis une veste tout en ignorant la douleur de son corps. Cette douleur n’était rien comparée à ce qu’il ressentait jusqu’au fin fond de son âme. Nicolas lui s’accrochait encore à lui, en lui demandant des explications au début, en s’excusant en larme par la suite pour une faute qu’il n’avait très probablement jamais comise. Une fois à la porte d’entrée, non, la porte de sortie, Nicolas finit par dire :
-Kelvian pourquoi tu me fais ça… Ce matin tu m’avais dit que ce n’était pas un rêve… Tu m’avais dit que j’avais le droit d’être heureux… Tu m’as dit tant de choses qui m’ont tant fait plaisir… Pourquoi ça prend cette tournure ? Kelvian regarde moi… Kelvian s’il te plait.
Kelvian était déchiré par ce que lui disait Nicolas. Mais il ne pouvait s’en empêcher. C’était plus fort que lui. Il ne voulait pas que Nicolas ait à souffrir de ses choix plus tard. Quitte à souffrir, autant que ça soit à ce moment là, net, précis, sans bavure, avant qu’aucun espoir utopique ne naisse.
-Ce n’était même plus un rêve… C’était un cauchemar, pas vrai ? Nicolas avait atteint sa limite. Il s’écroula devant sa porte, derrière Kelvian qui lui tournait toujours le dos.
Kelvian finit par se retourner afin de le voir, comme si c’était la dernière fois. Voir Nicolas en cet état était le pire châtiment qu’on aurait pu lui infliger. C’est pourquoi il se para une fois de plus de son masque doré pour lui sourire avant de lui dire :
-Bye bye Nico !!
Folle idée qu’il avait d’attendre une réaction de ce dernier. Il eut semblé que le temps s’était arrêté. Nicolas cessa de sangloter. Il se recroquevilla sur lui-même, posant les poings au sol. Kelvian en profita pour sortir.
-JE VEUX ME REVEILLER !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les larmes commencèrent à s’évader de son cœur, de son âme, de son corps. Il en profita pour refermer la porte avant d’entendre Nicolas hurler à la mort :
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!
Les conflits du cœur, les conflits amoureux rendent les hommes incontrôlables, bêtes, insondables et tourmentés jusqu’au plus profond de leur être. Cela a toujours été le cas et le restera à jamais.
FIN
‘-‘ (vous y avez cru hein xd !?)
Part 14 | Dérision | Dérision 2 |
Commentaires (14)
1. 2012-08-02
Hum '-' ça faisait un moment que l'auteur avait écrit ce chapitre... '-' du coup quand elle l'a relu, bah elle était bien sur le cul o.o
J'en reviens pas d'avoir écrit un truc pareil xD
J'espère que vous avez apprécié xD
Personnellement j'ai un peu la flemme de continuer, je pourrais très bien en rester là, car même si c'est choquant, je trouve que ça fait une belle chute. Toutefois si les lecteurs/lectrices ne sont pas contents je veux bien faire un effort xD
Car ça commence à faire un peu long là xD (15 chapitre x_x)
2. 2012-08-02
Han TTTTTTTTT.TTTTTTTTT c'est trop emouvant mais c'est horrible x.x comment sa peut se finir comme sa han T.T
3. 2012-08-02
Mdr mais heu xd
4. 2012-09-12
Ben là.... non c'est pas cool! c'est même carrement mechant comme fin ! jusque là j'aimais beaucoup .Ils ont affronté pleins de trucs pour que ça se termine comme ça ? Ben non ça me convient pas ! je veux bien une suite !!
5. 2012-09-12
Oui oui la saison est en cours xD!!
(Tu as déjà tout lu o.o!?)
6. 2012-09-12
saison 2 mdr^^
7. 2012-09-13
elle est bientot publié *-*
8. 2012-09-14
heu ouais je travaille encore dessus mdrr xD
9. 2012-10-26
BHOUA !!! °A° !!! J'ALLUCINE !!!
"-Bye bye Nico !! 8D "
ENFOIREEE !!! TTATT ! Comment tu as pu écrire un truc pareille ?! Je ne croyais pas ton coeur à ce point sombre Aki ! T^T Et dire que tu pensais innocement t'arreter la.. ? TE FOU PAS DE MOI !!! *A* *Lance un Knaki balle embaver* Ca t'apprendra !!! Namého ?!
La suite~ La suite~ La suite~ La suite~ *-* !!!
10. 2012-10-26
Omg pk tant de violences mdr XD
Je voulais un truc inattendu XDD
11. 2012-10-29
J'aime pas cette fin *brule aki avec de la bave acide* nan mais oh !!! va écrire la suite et que ça se finisse bien !!
*découpe hélène katy karen et le donne aux pirahanna" !!!
12. 2012-10-29
omg XDDDDD!!!
13. 2012-11-17
*fait subir à Aki le même traitement que Kelvian a fait subir à Karen*
Nah mais ça va pas ! Je suis CHOQUÉE ! Et tu comptait t'arrêter là ?! Nan mais t'es pas bien ? >,< *lui colle son poing dans la figure*
Pour la peine je vais lire la suite ! >,<
14. 2012-11-20
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
j'étais au bout du rouleau XDDD
Date de dernière mise à jour : 2021-07-05
Derniers commentaires
1. Par egyptian_chabine le 2017-08-22
Je trouve que le s titres de tes chapitres respirent la cool news dans toute sa splendeur ! Le personnage ...
2. Par egyptian_chabine le 2017-08-22
Mdr les pressentiments ne mentent jamais ! En général quand on a un doute c'est que des le départ ça ...
3. Par egyptian_chabine le 2017-08-22
Ah la la j'avais oublié comment c'était des beaux gosses!!! Ils sont trop mignons tous les deux oh ...
4. Par egyptian_chabine le 2017-08-21
MAIS OMG !! Je n'avais pas remarqué que tu avais publié les premier chapitre !!!!! xD WOW c'est trop ...
5. Par sabichan le 2016-10-20
Bonjour, vos messages me font très plaisir. Malheureusement j'ai écrit cette histoire il y a très longtemps ...
6. Par egyptian_chabine le 2016-03-25
OMG !! bah dis donc!!
7. Par egyptian_chabine le 2016-03-25
Bah dis donc dia, je ne savais pas que tu en avais rajouté autant! c'est boooooooooooooooooooo!
8. Par egyptian_chabine le 2015-07-03
Hum, décidément, cette histoire est tellement intense... Ca me met dans tous mes états de la relire ...