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Part 11

Douloureux aveux

Ce soir là après le travail il alla dans le centre ville, recherchant un restaurant du nom de L’Emeraude. Il s’agissait d’un restaurant cinq étoiles où l’on y présentait des mets d’une incroyable qualité. Il y avait réservé une table mais était en retard à son rendez-vous. En effet il avait été retenu par sa supérieure qui voulait absolument savoir pourquoi il était passé d’un état de déprime aigüe à celui d’un être comblé jusqu’au plus profond de son être.

       -Qu’est-ce que ça peut bien lui faire à cette vieille chouette ? Elle est décidément trop curieuse ! Dit alors Nicolas en garant sa voiture.

Après s’être présenté à la réception, on l’amena à sa table où son invitée était en train de patienter. Un sourire malicieux se lit alors sur son visage et il avança à pas feutrés pour lui cacher les yeux par surprise.

       - !! Mais qu’est-ce que tu fais ? Lui dit-elle alors.

Il ne répondit pas.

       -Kelvian arrête donc tes simagrées, nous sommes au restaurant je te sign…S’interrompit alors Hélène en apercevant Nicolas.

Elle resta sans voix un instant mais si elle avait été un chat, Nicolas aurait pu voir tous ses poils se hérisser !

       -Mais qu’est-ce que tu… Commença-t-elle à hurler.

       -Chut ! Lui dit alors ce dernier en s’installant à la table. Nous sommes au restaurant, comme tu allais si bien me le faire remarquer.

Elle grinça des dents avec un air terriblement mécontent. En temps normal elle aurait déjà quitté la table mais elle avait mille et une questions à lui poser quant à sa présence dans ce restaurant.

       -Que me vaut l’honneur de ta présence ici… ? Fit-elle alors en le foudroyant du regard.

       -J’avais besoin de te parler, désolé, il va falloir supporter ma personne le temps d’un repas. Nous n’avons jamais mangé en tête à tête comme ça, je crois, non ?

Elle le regarda alors incrédule, relevant un sourcil avant de souffler :

       -Nous n’avions aucune raison de manger à la même table en tête à tête espèce de moins qu…

       -Allons, allons, veux-tu bien faire un effort de bienséance le temps d’un repas ? Tu es une fille de bonne famille, tu peux bien supporter ça, non ? Lui dit alors Nicolas d’un air déçu.

Elle bouillonnait, elle eut une soudaine envie de lui planter l’une de ses quatre fourchettes dans l’œil. Mais il n’avait pas tord. C’est pour ça qu’elle n’en démordait pas. Elle alla alors directement droit au but.

       -J’avais rendez-vous avez Kelvian il me semble, qu’est-ce que tu fais ici ?

Avec un sourire sympathique Nicolas lui rétorqua alors :

       -Si je t’avais invitée personnellement, est-ce que tu serais venue ?

       -Ma foi, bien sûr que non ! Je ne veux rien avoir à faire avec toi !

       -Pourquoi ?

       -Quoi ? Fit-elle alors surprise.

       -Pourquoi tu ne veux rien avoir à faire avec moi ?

       -Parce que je ne te supporte pas voyons. Tu en as d’autres de questions idiotes comme celle-ci ?

       -Pourquoi ?

       -Quoi !? Élevait-elle alors une nouvelle fois la voix.

       -Ah bah, ce n’est pas possible de tenir une discussion avec toi, Hélène !

       -Attends, ne m’énerve pas plus que je ne le suis déjà, c’est quoi ce petit jeu ? Tu veux jouer à la méthode des cinq pourquoi ? Je n’ai pas le temps pour ces enfantillages !

       -Enfantillage dis-tu ?

Elle s’arrêta net.

       -Moi j’essaie de te parler sérieusement et toi tu ne fais que fuir ! Dis-moi qui fait comme une enfant parmi nous, reprit alors de plus belle Nicolas.

Après avoir été bouche bée, elle referma la bouche en se pinçant les lèvres. En effet, elle se rendait compte que sa haine envers Nicolas l’empêchait de rester placide en toute circonstance.

       -Très bien, je vais répondre à tes questions, mais n’oublie pas de répondre aux miennes, Nicolas.

       -Oh ! Fit donc Nico sincèrement surpris.

       -Quoi encore, souffla-t-elle d’un air blasé.

       -C’est bien la première fois depuis longtemps, que tu n’avais prononcé mon prénom, ça m’a fait tout bizarre.

Les joues d’Hélène virèrent au rose à cette remarque quand elle fit appeler le serveur. Quand Nicolas s’en aperçut il se rendit compte qu’il allait s’amuser ce soir là.

       -Je veux une bouteille de votre meilleur vin, demanda-t-elle hautainement au serveur.

       -Très bien, lui répondit stoïquement ce dernier. Pour Monsieur, faudrait-il autre chose ? Fit-il alors en s’adressant à Nicolas.

       -Je ne raffole pas de vin alors apportez-moi votre meilleur whisky s’il vous plaît.

       -Il en sera fait ainsi. Avez-vous choisi votre menu ? Ou je repasserai plus tard.

       -Nous avons toute la soirée devant nous, rétorqua Hélène comme une craie qui grincerait sur un tableau, nous prendrons notre temps, merci bien.

       -Très bien.

Malgré lui Nicolas s’amusait comme un fou. Il n’avait connu Hélène que sous la forme du dragon qui l’envoyait bouler à la moindre de ses réflexions. C’est pourquoi l’avoir coincée pied au mur comme ça, en la redécouvrant sous un autre jour, lui donnait une forte impression de satisfaction.

       -La nuit sera-t-elle si longue ? Finit-il par dire pour rebondir à sa réplique. Nous sommes en pleine semaine très chère. Le réveil risque d’être difficile.

       -Je n’en ai que faire de ton attention, lui dit-elle alors en se versant un peu de vin dans l’une de sa multitude de coupes.

       -Attends ! Lui fit alors Nicolas en lui prenant la bouteille des mains.

       -Mais qu’est-ce que tu fais… ? Fit-elle alors décontenancée.

       - Laisse-moi faire le gentleman ce soir ! De plus ce n’est pas cette coupe-ci pour le vin mais celle-ci, finit-il par dire en versant très courtoisement.

       -Pourquoi faire le gentil homme alors que je ne retiens que tes mauvais côté Nicolas ? À quoi ça t’avance de faire ça ?

       -Quand je me suis rendu compte que tu me détestais, je n’ai jamais essayé de savoir pourquoi ni de te montrer à quel point je pouvais être différent de ce que tu voyais de moi. J’ai décidé de te le montrer aujourd’hui !

       -Est-ce une mauvaise blague ? Qu’est-ce que ça changerait de notre relation ? Rien du tout ! Pourquoi tu veux faire des choses aussi futiles qu’inutiles ? Je te rappelle qu’en dépit de toute cette aversion que tu fais naître chez moi, tu restes un ami de Kelvian… Mon fiancé. Ce genre de discours ne fait pas très correct. Tu fais comme si tu tentais de me séduire. Aurais-tu perdu l’esprit ?

       -Et si c’était vraiment le cas, qu’est-ce que tu ferais ? Dis alors Nicolas d’un sourire enjôleur.

Hélène se figea sur l’instant, écarquillant les yeux de surprise et d’incompréhension avant de virer au rouge. Elle resta sans voix.

       -Tu es bien le premier homme à vouloir me courtiser en sachant que je suis fiancée à Kelvian Kinine, ton meilleur ami, de surcroît. Désolée mais si ce sont tes réelles intentions, je ne peux me permettre de m’attabler avec toi, je ne suis pas frivole à ce point là et quand bien même Kelvian n’en fait pas de même, je reste quelqu’un de fidèle, finit-elle en se relevant de table.

       -Je déconnais ! Dit alors Nicolas en lui attrapant le bras.

       -Quoi ? Fit-elle furieuse.

       -Réfléchis un peu ! Je suis en train de te taquiner ! Pourquoi après tant de temps, je viendrai te courtiser ? Je te rappelle que je suis là pour discuter avec toi rien de plus.

       -Nicolas, tu n’es pas un ami de Kelvian pour rien. Vous deux vous excellez dans l’art de faire défaillir les jeunes femmes qui se jettent malgré elles à vos pieds. Ce que tu dis là, n’a pour moi aucune consistance. 

       -Tu ne voulais pas savoir pourquoi j’étais là à la place de Kelvian alors ?

Elle eut un bug. En effet, elle avait perdu de vue la raison qui la poussait à rester à table avec Nicolas.

       -Nicolas, si tu… Pourquoi tu avais son téléphone ? Tu n’as donc aucune manière ? Te permettre de te faire passer pour lui ! Je suis vraiment hors de moi !

       -À la fin du repas tu pourras faire de moi ce que tu voudras, me frapper, me rouler dessus, me…

       -Cesse de dire des choses qui porteraient à confusion n’importe quel inutile qui passerait par là, je te prie. J’ai une réputation à tenir je te rappelle.

       -Est-ce vraiment important ?

       -Tu veux aussi me faire la morale ? Nicolas je ressens une envie foudroyante de te verser cette coupe de vin sur la tête ! Finit-elle par dire en se rasseyant.

       -Pardon. J’arrête de te taquiner si nous poursuivons ce que nous disions plus tôt, finit-il par dire en reprenant son sérieux.

       -Nous avons dit tant de choses que…

       -Pourquoi tu me détestes à ce point ?

Hélène s’arrêta au beau milieu d’une gorgée de vin blanc parfumé et souple en bouche, pour finir sa coupe comme si elle buvait de l’eau. Elle prit une profonde inspiration, les yeux fermés avant d’ouvrir ses derniers si lentement et avec tant d’aversion que Nicolas en frissonna.

       -Tu as du culot de venir me demander pourquoi je te déteste. Je te déteste parce que je te déteste. Il y a des choses qui ne s’expliquent pas. La seule chose que je regrette c’est d’avoir eu à te supporter malgré toute cette haine que je te voue et… Je ne peux pas croire que je suis au restaurant avec toi, ce n’est pas possible… Fit-elle en lui montrant sa coupe. Elle voulait qu’il la resserve.

       -Tu ne trouves pas ça débile de me détester sans raison ? Même si tu me détestais je ne t’ai jamais tenu rigueur pour ça, moi, fit-il en lui versant un peu de vin.

Elle le regarda d’un air blasé avant de descendre une nouvelle fois sa coupe de vin.

       -Nicolas… Arrête de te foutre de ma gueule, s’il-te-plaît… Fit-elle en le regardant dans les yeux. De toute façon, peu importe les raisons qui m’animent, tu n’y changeras rien et…

       -L’autre jour, je discutais avec Kelvian à ton sujet. Il ne comprenait pas pourquoi on ne s’entendait pas, fit-il en lui reversant un peu de vin, et je crois que j’ai enfin saisi la chose.

À ces mots Hélène but son vin de travers et était prise d’une forte toux. Nicolas se leva de table afin de lui tapoter le dos. Entre deux toux, elle remarqua que son expression était vraiment sincère et donc doublement douloureuse. Elle le fit s’éloigner d’elle avant de reprendre.

       -Nicolas, ne me touche pas, ne t’approche pas de moi plus que nécessaire. Les gens comme toi m’énervent à un point que tu ne peux imaginer, dit-elle en se tenant le crâne.

Ils commandèrent leur repas et entamèrent ce dernier avant qu’elle ne reprenne.

       -Toi… Je ne sais pas comment tu as fais pour te rapprocher de lui. Tu ne vis pas dans le même monde, tu n’as pas le même poids sur les épaules. Tu es libre de faire ce que tu veux. Tu pourrais partir à l’autre bout du monde que ça ne changerait rien à ce que tu laisserais derrière. Nous… Nous portons un poids que tu n’as pas. C’est pour ça que je te déteste. Tu te permets de faire et de ressentir certaine chose librement alors qu’elles nous sont interdites, voilà pourquoi je te déteste. Dès mon plus jeune âge je savais que mon destin était déjà tout tracé alors que toi, comme un clochard sans abris tu peux te permettre de faire ce que tu veux, de faire ce que tu choisirais de faire. Ce luxe… est la raison pour laquelle je te déteste… Tu veux en savoir plus ?

       -Je ne me trouve pas si libre de faire ce que je veux moi pourtant…

       -Tu me diras qu’on a toujours l’impression que l’herbe est plus verte ailleurs, mais même quand on est dans un luxurieux jardin, les beaux rosiers peuvent nous piquer.

       -Je ne comprends pas… Finit par dire Nicolas.

Après avoir soupiré de dépit entre deux bouchées, Hélène finit par reprendre :

       -Je constate que dire les choses de façon imagée ne te met sur aucune piste. Tu es donc aussi stupide que ce à quoi je pensais. Tu m’as dit que tu avais compris des choses en discutant avec Kelvian, mais je me demande vraiment ce que tu as compris en fin de compte.

       -Je l’ai compris quand je lui ai dit qu’en seconde nous étions dans la même classe. Quand je t’ai connu avant que vous ne fassiez connaissance tous les deux.

À ces mots, Hélène s’immobilisa. Comme si le temps s’était arrêté autour d’elle. Un court instant elle se rappela de cette année là. Une année qu’elle avait eu tant de mal à effacer de sa mémoire. Elle se mit alors à ricaner après une nouvelle gorgée de vin.

       -Et ? Qu’as-tu compris au final ? Lui fit-elle en lui souriant tristement.

Nicolas, n’avait toujours eu que Kelvian en tête. Peu importe l’époque, peu importe qui il fréquentait, peu importe le reste. C’est pour cette raison qu’il n’avait même pas accordé à Hélène une petite attention. Ni de l’amitié, ni de la haine, rien. Pourtant, en la voyant ainsi, il se rendait compte qu’elle avait vraiment souffert de cet amour non partagé, de ce retrait de toute liberté. Sa vie se transforma en cauchemar au moment où elle rencontra son fiancé. Ce n’était ni de la faute de Nicolas. Ni de celle de Kelvian. C’est juste qu’elle n’avait pas de chance. Pour cette raison, Nicolas demeura silencieux.

       -Une fois que je me suis rendue compte que ma destinée était tracée à l’avance, j’ai tout fait pour m’y conformer. Je suis devenue une jeune femme exemplaire. Le moindre détail comptait, la prestance, l’apparence, la réputation… Je ne sais pas si je pourrai pardonner à Kelvian son libertinage alors que moi je vis dans le respect de valeurs que je pensais essentielles. De toutes façons, on vit dans un monde où les hommes et les femmes sont vus de façons tellement différentes selon leurs actes que j’ai toujours vécu dans la crainte de perdre la seule chose que j’avais. Mais… Tout aurait été plus simple si j’avais été une page blanche avant ça.

       -Une page blanche… ? Finit par répliquer Nicolas.

       -J’aurais pu être le pantin idéal de mes parents si je n’avais pas été souillée par des sentiments inutiles avant ce tournant de mon existence. À cause de ça, je suis devenue une jeune femme aigrie à mon âge.

Elle aperçut que Nicolas gardait le silence. Elle ressentait sa culpabilité et voulut enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie.

       -Et oui, je suppose que tu t’es enfin rendu compte que j’étais tombée amoureuse de toi avant que je ne rencontre l’homme de ma destinée. Mais le destin a voulu qu’en dépit de tous mes efforts pour t’effacer de mon cœur, tu étais toujours là, dans les environs, pour les anéantir ; ce qui fait que tout cet amour s’est transformé en haine. Il fallait bien que j’aime mon fiancé et rejette tout le reste n’est-ce pas ? Alors te voir en face de moi là, actuellement, avec ce petit air de vainqueur… je suppose que le fait que tu ais pris cette initiative signifie qu’en plus de m’avoir dérobé mon cœur tu m’as aussi pris celui de l’homme de ma destinée. Que me reste-t-il à présent ? Vivre comme si je n’avais rien vu ? Je l’ai bien fait toutes ces années, je pourrai très bien continuer !

Nicolas avait la tête dans son assiette, ne sachant plus quoi dire, ni quoi faire, toute cette liberté dont parlait Hélène tout au long du repas s’était évanouie. Hélène reprit donc la parole :

       -Je me demande ce que tu espérais de cette soirée Nicolas Nimendi. À part raviver la mélancolie de mon existence qu’est-ce que ça t’a rapporté de plus ? Ton silence m’irrite, dis quelque chose ! Finit-elle par dire.

Mais il ne disait toujours rien.

       -Tu m’agaces. Je ne saurai dire si vider mon sac m’aura fait du bien ou pas en cette soirée funeste. Je n’en avais jamais parlé à personne auparavant. Au final tu m’auras tout pris ! C’est le dénouement auquel tu t’attendais ? Je n’en ai désormais que faire de parler à un pantin silencieux, où est donc passée ton intrépidité ? Aux orties ? Je mentirai si je disais que j’ai passé une mauvaise soirée. Je n’ai jamais été aussi perturbée lors de mes dîners avec Kelvian. C’était toujours très formel avec lui. Mais je vais prendre congé. Fais comme si nous ne nous étions jamais vu. Je te laisse payer la note pour la peine. Adieu ! Finit-elle en tournant les talons.

Désabusé Nicolas restait sans voix à table en l’écoutant s’éloigner. Il avait toujours pensé égoïstement à Kelvian. Comme Rebecca le lui avait reproché auparavant, il avait fait souffrir bon nombre de femmes de par son obsession. Mais Rebecca, elle, avait réussi à se refaire une vie, alors qu’Hélène, elle souffrait perpétuellement par sa faute. Nicolas ne savait pas si c’est parce que son amour s’était concrétisé qu’il était beaucoup plus empathique avec les autres mais cette triste réalité ne le laissait pas de marbre. Il se précipita alors vers la sortie après avoir réglé la note.

 

Part 10 Dérision 2 Part 12

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Commentaires (5)

1. egyptian_chabine (site web) 2013-05-08

je ne sais pas pour vous mais j'ai commencé à ressentir de la compassion pour Hélène même si elle pense que tout tourne autour de son nombril ... xd

Maintenant que tout est à plat j'espère que ça vous plaira la suite xD

2. sabichan 2013-07-09

Décidément, cette Helene, je ne peux absolument pas la blairer.
Cette fille, est complètement folle!!! Je la déteste (si elle pouvait mourir, ça arrangerais bien des choses)
Je veux dire, qu'après toutes ces années elle n'est resté que sur cette amourette ? Mais Bon Sang qu'elle se réveille!!! Dans la vie on pas (voir, jamais) toujours ce que l'on souhaite. Elle aurait du l'accepter et passer à la suite.
Elle traite Nicolas d'égoiste, mais cette espcèce de petite capricieuse, qui à toujours eu que ce qu'elle voulait ne décolère pas parce que Nicolas n'a pas su voir ses sentiments. Et puis, vous l'entendé parler "Je"' à toutes les sauces.
Non mais c'est vraiment l'hôpital qui ce fout de la charitée...
Et puis elle le traite de clochard, mais ça ne l'empêche pas une seule seconde de le laisser payer la note après tout le vin extrêment chèr qu'elle à bu!!! GRRR
Mais je crois que le pire dans tout ça, c'est que Nicolas, semble ce sentir coupable!
Non mais coupable de quoi vraiment!!! D'être amoureux?
Mais l'amour est par nature un sentiment purement égoiste alors que cette dinde d'Hélène sorte les yeux de son **** et constate à quel point le monde est vaste et ne tourne pas qu'autour d'elle.
Sinon, comme d'habitude, je me suis laissé absorbé par l'histoire, qui est toujours aussi passionate, et il est vrai que comme Nico est mon chouchou, je ne suis pas tout à fait objective, mais rien à faire.
Pour moi cette fille est un cancer que l'on doit absolument éliminer!

3. egyptian_chabine (site web) 2013-07-13

Omg quel véhément commentaire xD

4. Kywi 2013-08-09

Omagad sabi ! Ton commentaire est aussi long et divertissant qu'un chapitre de derision. *se pend*
Je suis entièrement d'accord avec toi sur le fait qu'Hélène soit une garce, je ne peux plus la supporter. C'est une enfant gâtée capricieuse qui ne pense qu'à elle même et reproche ses fautes à ceux qui sont plus malheureux qu'elle. Non pardon, ceux qui sont malheureux, parce qu'elle est loin de l'être.
En plus de ça, elle s'amuse de voir souffrir ce pauvre Nico avec ce qu'elle lui dit.
Non mais faut qu'elle se soigne, elle a un problème hein.
Sinon Aki j'aime toujours autant ton histoire, je me laisse également absorber par celle ci.
Les fautes sont légèrement plus nombreuses dans ce chapitre, mais il est également plus long il me semble donc ça rattrape tout xD

Sur ce : Je file lire la suite !! *o*

5. egyptian_chabine (site web) 2013-08-11

Mdr je suis ravie que la suite suscite autant d'intérêt chez vous :D

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Date de dernière mise à jour : 2021-07-05

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