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Chapitre 5

Enfermé

Bonjour tout le monde !

Voici, après une certaine attente, parfois impatiente (se reconnaitront les personnes concernées…) le cinquième chapitre de cette histoire.

Ici, on retrouve Tsuna, et on fait connaissance avec un personnage de ma composition. En espérant que vous aimerez ! ^^

Bonne lecture !

- Ce n'était pas ce qui était convenu.

Non, c'est vrai. Mais avouez que ça vous arrange. Avec la battue que les Vongola ont mise en place, vous avez besoin de vous faire oublier.

- Personne ne connait mon visage. Je ne peux pas me faire remarquer.

Ne sous-estimez pas la Famille Vongola. C'est comme ça que survienne les erreurs, les imprévus. C'est grâce à notre plan sans faille que vous avez pu arrivez jusqu'ici sans vous faire remarquer.

- À partir du moment où survient quelque chose qui n'était pas convenu, comme ce que vous me demandez, j'appelle ça une faille.

- Oui. Mais ce qui n'était pas prévu par vous peux l'être par nous. Il fallait vous cacher, vous faire oublier un long moment.

- …

Allez, ne faites pas la fine bouche ! On vous offre le gîte et le couvert, la protection et une somme rondelette pour faire cette simple tâche.

- Pourquoi moi ?

Parce que nous vous croyons capable de gérer les difficultés qui risque d'arriver.

- Difficultés ? Je n'aime pas ce mot.

Nous non plus, soyez-en certain. Mais voilà, le but de cette opération étant de découvrir les secrets de cette Flamme Vongola, nous ne savons vraiment pas quels sont les pouvoirs de ce gamin. Pas encore. Nous pensons qu'un homme tel que vous saura le contrôler. Vous en êtes certainement capable, n'est-ce pas ?

Il réprima un soupir. Et voilà qu'on lui faisait encore un chantage sur Sa fierté. Stupide. S'Il avait encore de la fierté, Il ne ferait pas ce boulot dégradant. Il garda donc le silence, et réfléchit à la proposition. C'était vrai que c'était la première fois qu'Il se frottait à la Famille Vongola, et qui plus est, en kidnappant le futur successeur de la famille, et en trompant le meilleur hitman du monde.

En moins de cinq minutes, Il s'était fait vraiment beaucoup d'ennemis, tous plus dangereux les uns que les autres. C'était vrai qu'Il avait besoin de se cacher. Et Il avait trouvé le plan de ce type étonnement sûr, comme cette cachette.

Mais tout de même, ce qu'on Lui demandait le révulsait, bien qu'Il ne l'aurait admis pour rien au monde. Il était censé ne plus avoir de cœur… Mais l'idée de faire des expériences sur un gamin L'hérissait. Pourquoi donc devrait-Il le regarder mourir un peu plus chaque jour à cause de ces expériences ? Il préférait une mort rapide et sans douleur que la lente agonie à laquelle Il allait assister.

S'Il acceptait de veiller sur le gamin.

Décidez-vous. Nous avons besoin d'une réponse, pour pouvoir continuer.

Il se retourna, et fixa la forme immobile qui gisait sur le lit de camp de sa cellule. Pâle, anormalement immobile, le jeune garçon aux cheveux châtain était contraint au sommeil par un puissant somnifère. Il semblait tellement fragile, tellement menu pour son âge. Combien de temps survivrait-il à ce qu'il allait subir ? Pourrait-il supporter de le voir…

Oui. Il devait le supporter. Ça ferait enfin de lui la machine à tuer finale, un être sans cœur. Il ne ressentirait enfin plus cette douleur, cette pitié.

- J'accepte.

Il raccrocha.


 

Tout c'était passé comme il l'avait prévu. Il se doutait que l'Arcobaleno n'allait pas tomber dans le piège de la convocation, mais qu'il hésiterait. Et c'était de cette hésitation dont il avait besoin. Il suffisait d'une seconde d'inattention pour tuer quelqu'un.

Le gamin avait tout de même une protection plus forte qu'il ne l'avait imaginé. Deux de ses amis ne le quittait pas des yeux, et tout autour de l'école, il y avait des sortes de garde. Comité de Discipline. C'était gênant.

Mais sans plus. Ce n'était que des gamins. Ce qu'il craignait le plus, c'était l'intuition du Vongola, que l'on disait redoutable. Aussi avait-il été agréablement surprit que tout ce passe sans bruit, et en moins de cinq seconde. Bien moins de temps qu'il n'en avait prévu.

Il avait volé dans les bois, où il s'était arrêté. Il avait fait alors couler le sang du jeune garçon, pour laisser sa signature qui, il le savait, ébranlait les certitudes les plus fortes. Quand on voit le sang de la personne que l'on doit protéger, on met du temps pour s'en remettre. Et c'est ce dont il avait besoin. Du temps.

Pendant que le sang coulait assez vite de la blessure au poignet qu'il avait fait, il avait fouillé le gamin. Il avait trouvé deux boites bizarres, une paire de moufle blanche rayées de rose, une boite de bonbon bleu, un collier en argent autour du cou et un talisman dans les poches de la veste. Et bien sûr, la bague Vongola au doigt du gamin. Il avait jeté le talisman dans le sang.

Le gamin n'avait plus besoin de protection, maintenant.

Il avait gardé précieusement l'anneau, le collier, les boites, et les moufles sur lui. Il avait hésité, et garder les bonbons aussi. Il avait pansé la plaie de manière sûre. Le gamin ne devait pas mourir. Pas encore. Il était repartit, Ombre parmi les bois. Il était sûr de n'avoir laissé aucune trace, pas de feuille piétinées, pas de brindilles brisées.

Les ombres ne laissent jamais de trace. Et il n'était qu'une Ombre.

Aussi il avait filé, avant la mise en place des barrages. Il avait prit un bateau de liaison avec la Chine. Il n'oubliait pas de régulièrement droguer le gamin. Il ne fallait pas qu'il se réveille. De la Chine, il avait prit plusieurs transport, toujours aussi invisible aux yeux des gens, pour enfin arriver en moins d'un mois en Slovaquie, dans les montagnes en plein centre de ce pays.

Il avait dû les escalader pendant un moment, et il avait fini par trouver, à un endroit convenu d'avance, un téléphone, et une carte. C'était le lieu de rendez-vous prochain. Il s'y était rendu sans un mot, et avait trouvé une base secrète, creusée dans les montages. Mais il avait dû avouer que s'il n'avait pas été au courant, il n'aurait strictement rien vu.

Toujours avec son paquet humain, il s'était avancé dans un long couloir obscur, seulement éclairé par des lumières vertes sombres. Il avait bien prit soin de masquer son visage, et de nouveau, seul ses yeux noirs était visible.

S'il y avait des caméras, on ne pourrait jamais l'identifier. S'il rencontrait quelqu'un, il ne serait pas obligé de le tuer. C'est alors qu'à un croisement, un homme à la chevelure d'un blond fadasse était apparu. Il n'avait ni sursauté, ni fait un geste de reconnaissance. Il l'avait sentit venir depuis un moment. Il s'était arrêté.

Avec un sourire maniaque, l'homme lui indiquait une direction. Il l'emmena dans une pièce avec une cellule. Il comprit que c'était pour le gamin. Il jeta le paquet dessus sans douceur, mais sans brutalité inutile non plus. Mais alors qu'il commençait à dépaqueter tranquillement le gamin du sac de toile où il avait été tout le temps, enlevant le rembourrement qui servait à dissimuler la forme d'un corps, et le masque à oxygène, qui lui permettait de respirer, il s'était figé.

Un rire d'hyène venait de retentir derrière lui, le révulsant au plus profond de lui. Une voix aigrelette, désagréable s'était alors élevée.

- Ooh… Qu'il est joli, ce morceau… Je t'envie, tu sais, tu vas pouvoir jouer avec lui autant que tu le veux…

Il s'était aussitôt relevé, un pistolet automatique pointé sur la tête du gars. Qui s'était figé, le sourire plus carnassier. Mais les yeux de l'Ombre ne plaisantaient pas. Et s'il ne parla pas, le message était très clair.

Dégage.

Avec un dernier rire qui fit frémir de dégout et de haine l'Ombre, la Hyène repartit aussi tranquillement qu'elle était venu. Il avait regardé un moment la porte avant de baisser son arme, et de se remettre à l'œuvre. Il avait enfermé le gosse dans sa cellule, et avait téléphoné au numéro qui était en mémoire.

Et voilà. Il venait d'être promu Baby-sitter. Quelle blague…


 

Quand son prisonnier commença à se réveiller, il avait déjà fait le tour de la structure, mémorisé les entrées, les sorties, les différentes pièces, celles qu'il pouvait aller voir, et les autres. À sa plus grande surprise, il n'y avait pas de caméra. Toute cette opération était encore plus secrète que tout ce qu'il aurait pu imaginer. Mais quand on s'attaque aux Vongola… Toutes les précautions sont bonnes.

On pouvait être sûr aussi que seules les personnes à la loyauté indéniable travaillaient ici, pour ne pas avoir besoin d'être surveillées. Il se demandait comment on pouvait lui faire confiance, alors qu'il n'appartenait même pas à leur Famille. Mais ça n'était pas son problème.

Non, son problème, en ce moment, c'était le fait que le gamin se réveillait. Il devait être affamé et déshydraté, car il n'avait pas prit le soin de le nourrir proprement. Il ne lui laissait pas assez de temps pour manger proprement qu'il le rendormait.

Aussi il avait fait un tour dans les cuisines, avait ramené de l'eau et une soupe chaude. Il ne pensait pas que le gosse ne puisse avaler autre chose. Et, comme il ne savait pas quand les expériences commenceraient, il ne voulait pas qu'il ait l'estomac plein.

Il avait posé les plats sur le bureau, et le regardait s'éveiller doucement. Mais quand il commença à ouvrir les yeux, encore embué par la drogue, l'Ombre se crispa involontairement.

Trop grands. Trop lumineux. Trop nostalgiques. Ces yeux… Ils-

- Où… Où suis-je ?

Tsuna fut surprit par la faiblesse de sa propre voix. Il avait du mal à bouger, comme si ses membres pesaient des tonnes. Il regarda doucement autour de lui. Il était… Dans une cage ? Non. Une cellule serait plus exacte. Il était sur un lit…

Attend… Une cellule ? Comment avait-il atterrit ici ? Qu'est-ce qui se passait, pourquoi avait-il autant de mal à bouger… Il essaya de secouer la tête pour se débarrasser de la sensation cotonneuse qui l'entourait, mais fut prit d'un vertige. Il se calma, et se força à s'assoir. Ses jambes, plus lourdes que le plomb finirent après plusieurs essais à glisser sur le côté et tomber de sont lit.

C'est en levant les yeux à ce moment qu'il remarqua qu'on l'observait. Deux pupilles sombres, qui luisait. Malgré tout les efforts du monde, il n'arrivait pas à distinguer le visage de l'homme qui était devant lui.

- Qui… Êtes-vous… ?

On ne lui répondit pas. Tsuna ne bougea pas, il n'en avait pas la force. Toujours avec une main sur sa tête, il restait complètement abruti par le reste de drogue qui l'avait dans le sang. Il n'était pas encore en mesure de réfléchir proprement.

La personne en face, appuyé sur un bureau et les bras croisés se décida à bouger. C'était incroyable, sa manière de bouger, tellement gracieuse, tellement silencieuse. Tsuna ne pouvait s'empêcher de penser que c'était beau… Mais il n'arrivait pas à penser plus loin.

La personne se leva, pris la bouteille d'eau et le bol de soupe, et le glissa par terre, en dessous de la porte de fer. Tsuna remarqua vaguement que le trou semblait avoir été fait exprès. Mais il ne bougea pas de sa position, regarda d'un regard vague la soupe. Il se dit vaguement qu'il avait faim, et qu'il devrait manger. Mais il était incapable de faire bouger son corps.

- Mange.

"Dort."

Un éclair se fit dans son esprit. Il avait déjà entendu cette voix. Il était à l'école. Dans un des couloirs. Et il avait entendu cette même voix basse, inhumaine. Et après… Plus rien. Qu'est-ce qu'il faisait là ? Qui était cet homme ?

Sa tête… Lui faisait tellement mal. Il comprit dans un éclair de lucidité qu'on avait dû le droguer. Mais sa faiblesse n'était pas seulement due à la drogue. Maintenant qu'il s'éveillait de plus en plus, il sentait son estomac faire des nœuds comme jamais il n'en avait fait. Il avait faim. Et il avait aussi soif.

Il essaya de se lever, mais ses jambes tremblaient si violement qu'il tomba par terre. Il grimaça sous la douleur, mais continua à s'avancer doucement vers la nourriture. Se poser des questions plus tard. Pour l'instant, il fallait prendre ce qu'on lui offrait.

Alors il mangea. Encore trop perturbé pour se rendre compte clairement de la situation. Mais il voulait manger, reprendre des forces, avant de se secouer, et de se questionner. Il avala une première cuillère, et se fut comme une renaissance. Il sentit la chaleur descendre dans son œsophage, et se stabiliser dans son estomac, irradiant son énergie. Il prit son temps pour la manger, mettant ses idées en place.

D'abord, cet endroit. Une cellule. Il était donc prisonnier ? Oui, mais de qui, et pourquoi ? Il avait été … Enlevé ?… Sa main trembla, tapant contre le bol, quand cette vérité lui apparut, expliquant beaucoup de chose. Mais qu'est-ce qu'on lui voulait ?

Il termina sa soupe, et prit quelques gorgées d'eau, mais sa gorge était trop serré pour pouvoir complètement boire son content. Il ferma la bouteille, et décida de la mettre de côté. Il essaya de nouveau de le lever maintenant qu'il avait mangé, et vit avec satisfaction qu'il avait effectivement retrouvé des forces. Ses jambes tremblaient encore un peu, mais elles étaient capables de le porter jusqu'à sa couche.

Il s'assit, et se décida à regarder de nouveau l'homme qui de toute évidence lui servait de geôlier. Il n'avait pas fait un mouvement depuis qu'il lui avait donné son repas. À croire qu'il était mort… Si ces yeux n'étaient pas aussi brillant, aussi vif qu'avant. Il hésita une dernière fois avant de tenter de l'interroger.

- Euh… Pardon ? Je suis où ? Et vous… Vous êtes qui ?

Pas de réponse. Pas que Tsuna en attendait une particulièrement. Il aurait été étonné d'obtenir ce qu'il voulait aussi vite. Il soupira.

- Combien de temps je-

- Silence.

Il se tut immédiatement. L'homme se redressa, et Tsuna sentit qu'il se mettait à trembler de façon incontrôlable face à ce que dégageait l'homme.

- Tu es mort. Oubli l'espoir d'être sauvé, car tu n'existe déjà plus autre part que dans cette chambre. Ça t'évitera de cruelles désillusions.

- Co-Comment ça je suis mort ? Attendez, on me recherche forcément, et on va me trouv-

- Non. On ne te trouvera pas. Ça fait déjà deux semaine que tu as disparu de la surface de la terre.

Tsuna ouvrit la bouche pour protester, mais se trouva incapable de prononcer la moindre parole. La date tournait dans sa tête comme un manège sans fin.

Deux semaines ? Sa mère devait être folle d'inquiétude… Et ses amis, Reborn, qu'est-ce qu'ils faisaient ? Ils-

"Tu es mort"

Mais s'il le croyait mort… Peut-être qu'ils ne le cherchaient déjà plus… Il secoua la tête. Non, ce n'était pas possible. Tout simplement impossible. Mais avant qu'il n'ait le temps de dire quoi que se soit, l'autre se dirigea vers la porte de sortie.

- Dort. Tu vas avoir besoin de reprendre des forces, si tu veux faire face à ce qui t'attend.

Il éteignit les lumières, plongeant Tsuna dans le noir, mais aussi dans le plus grand désespoir.


 

Bon sang… Pourquoi…

Il secoua sa tête, et se dirigea vers sa chambre. Mais la question restait la même ? Pourquoi c'était-il sentit obligé de répondre à ce gamin ? Pourquoi lui avoir conseillé de se reposer ? Il n'a pas besoin de se soucier de lui, il n'est que la personne qui le surveille, rien de plus.

Il entra dans une pièce dénudé, qui lui servait de chambre. Il s'assit sur son lit, et prit sa main dans sa tête.

Pourquoi ? Il n'était plus censé avoir de cœur depuis longtemps ! Depuis très longtemps… Pourtant les yeux de ce gamin lui rappelaient des souvenirs, d'horribles souvenirs. Des souvenirs si douloureux qu'il croyait les avoir effacé de sa mémoire.

Mais ils les avaient simplement refoulés, et maintenant, ils revenaient en force, le hantant.

Des cris, du sang, l'odeur de la poudre. Son impuissance, si cruelle. Il n'avait pas pu…

Il se secoua, décida de prendre une douche froide pour se laver la tête. S'il avait su se que provoquerait les yeux de ce gamin avant, il n'aurait pas accepté le supplément. Mais maintenant, il ne pouvait plus reculer.

Il se coucha rapidement.


 

Tsuna pleurait.

On ne pouvait pas le blâmer. Il était terrorisé, seul dans un lieu strictement inconnu, à la merci de personnes qui lui voulaient du mal. Il n'avait plus rien. S'il avait eu sa boite arme et sa bague, il aurait pu se battre. S'il avait eu ses gants et ses pilules, il aurait pu se révolter. Mais il n'avait plus rien.

Même pas le talisman si précieux que Kyoko-chan lui avait offert. Il n'avait même plus ça.

Maudit Vongola. C'était leur faute, tout ça. Il n'avait jamais rien demandé, lui ! Il voulait simplement vivre une vie basique, normale ! Il n'avait jamais demandé à être impliqué dans le monde de la mafia, ni d'impliquer ses amis. À cette pensée, il se recroquevilla, et souffla :

- Les gars…

De nouvelles larmes coulèrent sur ses joues, brûlantes. Il espérait qu'on le retrouve vite. Il fallait qu'on le retrouve vite. Il avait beau être maudit, il avait pour prof particulier le meilleur hitman du monde, et la famille la plus puissante était à sa recherche. Ils finiraient par le retrouver.

Cet homme avait tort.

Cet homme devait avoir tort. Pourtant, Tsuna n'avait pas senti le mensonge dans ses paroles. Ça faisait donc bien deux semaines qu'il avait été enlevé. Et on ne l'avait toujours pas retrouvé.

On allait le retrouver. C'était sûr. Il pouvait faire confiance à Reborn pour le retrouver partout sur la terre. Il n'avait aucun moyen d'échapper à son démoniaque tuteur. Il devait encore subir ses entraînements sortit tout droit des enfers, après tout. Reborn n'allait pas le laisser s'échapper aussi facilement.

Il s'endormit et eu un sommeil agité, ou il voyait sans cesse le visage de ses amis, de leurs sourires, de leurs voix. Et il se réveillait en sursaut, couvert de sueur. Il se retournait, et s'efforçait de se reposer. Car il avait senti la vérité dans le conseil de cet homme. Il aurait besoin de toutes ses forces pour affronter ce qui l'attendait.

Et oui, j'ai osé. J'ai fait Tsu-chan prisonnier. TT_TT

Ne m'en veuillez pas, moi aussi, ça m'a fait mal d'écrire ça !

En attendant la suite, merci de me donner votre avis ! ^^ 

 Chapitre 4 La Raison  Chapitre 6


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Date de dernière mise à jour : 2021-07-05

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